dimanche 22 février 2009

Le Psychologique

Voilà un mot qui suscite bien des questions. Le Côlon Irritable serait en partie lié au stress et à l'anxiété. M'ouais.... Là encore, tout le monde est différent mais c'est à chacun de se poser la question. Il est vrai que le Côlon Irritable entraîne de la déprime par moment, surtout quand on fait des efforts et que le lendemain il n'y a toujours pas de changement.Sachez qu'il faut être très patient et qu'il ne faut jamais baisser les bras. Prenez le temps de vous détendre, au moins une fois par jour, de respirer profondément, de moins fumer....Il existe de nombreux moyens pour se relaxer comme le yoga, les psychothérapies, le sport... Regardez aussi tout simplement ce que vous faites quand vous êtes bien et essayez de le reproduire quand vous vous sentez angoissé. Il est aussi très conseillé de se détendre avant de manger.

1 commentaire:

  1. il y a des connexions entre état psychologique et état intestinal... le stress active le système sympathique et il innerve autant le coeur, les poumons que le système digestif...

    On peut être quelqu'un de trés cool et être tout de même stressé car c'est une réaction de l'organisme qu'on ne maîtrise pas, et qui peut être lié à plein de trucs, et pas que les soucis... ça peut être les trucs positifs et grave de sa vie (se marier) ou des craintes ancestrales : bruit, vitesse, hauteur..., des apprentissages pas toujours conscients datant de l'enfance à propos de certains situations, le fonctionnement global de notre organisme : conditions de travail, de sommeil... Les sources de stress sont trés nombreuses dans notre société moderne et pas toujours visibles ou perceptibles...

    il y a un lien fort aussi entre intestin et humeur car les deux subissent l'influence de la sérotonine... le neuro-transmetteur qui manque chez les dépressifs. Et il y a sûrement d'autre connexions nerveuses, hormonales...

    Mais l'influence peut se faire aussi positivement... les trucs qui destressent à fond l'organisme... comme le sentiment de gratitude, quand on sent son coeur qui se gonfle de bonheur, réhabilitons le benedicite... je plaisante mais une petite méditation avant de manger nuit pas... merci à celui/celle qui m'a préparé ça, c'est génial l'entraide qui existe entre les humains pour arriver à mettre des trucs dans notre assiette...

    La respiration, l'exercice physique... en plus ça améliore (à petite dose) la digestion et réduit les gaz et la constipation (les contractions des abdos viennent en renfort de celles des intestins). L'exercice physique fait aussi sécréter des endorphines qui rendent moins sensible à la douleur et apporte du bien-être.

    Y'a plein de choses possibles en fonction des affinités de chacun pour être plus zen... méditation, prendre soin des autres, ou d'un animal, relaxation etc (lisez le bouquin de d servan schreiber à ce sujet... plein de techniques naturelles validées)

    une petit technique perso dérivant de la relaxation... la reconciliation, être fâché contre son intestin/son corps ne facilite pas les choses ! Sur le dos, dans un endroit où on se sent bien, mettre ses mains sur son ventre, moi je me masse en prime, ça me fait du bien, et je cause à mes intestins, ce qui nous arrive c'est la faute à pas de chance, et malgré tout ils essayent de faire de leur mieux pour remplir leur fonction... ça a l'air bêbête mais moi ça m'aide beaucoup... on peut pas vivre faché contre une partie de son corps

    autre truc important sur le plan psycho : bien bien connaître sa pathologie, pour la comprendre... quand on a mal au ventre (ou tout autre de nos symptomes) et qu'on sait pas pourquoi c'est angoissant, on se demande si on a pas un truc grave, si les médecins sont pas passés à côtés de qqchose... si on comprend comment la maladie fonctionne, c'est typique avec l'hypersensibilité, ça rassure, la douleur sera identique, mais la souffrance moindre. Si on arrive à se dire : ce message est anormal, c'est mon cerveau qui l'interprète mal, comme si on avait tourné le bouton de volume de la chaîne alors qu'on lit toujours le même cd ... on va lui accorder rationnellement moins d'importance et devenir capable d'endurer des désagréments importants sans peur, sans crainte que ça empire, et donc faire plus de choses. Etre moins stressé aussi car sinon ça fait un cercle vicieux ou le syndrome lui-même devient la principale source de stress.

    On peut aussi, sachant comment les choses fonctionnent, faire des écarts... j'adore le poivron, ça va me donner mal au bide, mais parfois tant pis, je pèse le pour et le contre et je me dis que le plaisir de manger ce petit bout de délicieux poivron et plus fort que la gêne que j'aurai après... et je choisi, et si après j'ai un peu mal, je sais pourquoi et je ne le vis pas négativement...

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